Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 103 : Maitre Lucifer
il y a 1 an

Chapitre 104 : Départ imprévu

Cette suite, elle ne se fit pas tarder. Tata Marguerite et Maîtresse Diane me firent sortir manu militari du parc, m’infligeant à tour de rôle de grosses fessées sans crainte que ma couche n’explose également. Chacune d’elle libéraient cependant du liquide de mon cul en actionnant le coulisseau du plug à chaque impact, mais je n’en étais plus à ce problème.

Elles m’obligèrent à m’asseoir dans une chaise géante de bébé qui enclencha l’ouverture, libérant vers ma couche, cette fois sans discontinuité, le fluide que retenait mon corps. Aucun effort de mes muscles fessiers ne pouvait l’en arrêter puisqu’il s’écoulait dans le conduit interne de l’objet importé.

Pourtant, malgré mon impotence, le fluide s’arrêta brutalement, coincé par un bouchon solide de déjection. Libéré par les produits laxatifs de la tétine et du lavement, et voulant emprunter le même chemin de liberté, il s’était coincé dans l’ingénieux mais fragile système du coulisseau.

Les maîtresses, ne s’étant pas rendu compte de la disposition bouchée et superflue du système, et comment le pourraient-elles, m’attachaient les cuisses afin que je ne puisse pas me relever de mon siège. Elles tenaient à ce que je garde cette position ouverte et humiliante.

  • Tu as été vilain, très vilain, me dit Lady Christine en me pinçant la cuisse à travers la genouillère, méthode archaïque d’enseignement.

Je secouai la tête, leur faire comprendre que ce n’était pas du bas, mais du haut qu’elles devaient s’occuper. Je roulais des yeux, pour qu’on m’enlevât cette tétine trouée qui avait failli m’étrangler et qui continuait de m’empêcher de respirer correctement. La phobie me revenait. Je devenais rouge de ce qu’on m’a raconté. Je transpirais.

Ladyscar, plus attentive à mes besoins comprit la première le problème. Elle voulut m’enlever cette tétine, mais Tata Marguerite l’en empêcha.

  • Tu ne vas pas lui donner ce qu’il veut, après ce qu’il a fait.

  • C’est sa phobie qui le fait agir ainsi.

  • Sa phobie a bon dos. Déjà qu’elle nous contrarie dans un grand nombre de pratique. Basile nous a confirmé que les grosses bites dans la bouche ne le gênaient pourtant pas, poursuivit-elle, alors que je continuai à m’agiter.

  • Regarde, insista-t-elle. Il est paniqué.

  • Je vais te le calmer, lui répondit Maîtresse Diane.

Puis s’adressant à moi :

  • Si tu n’arrêtes pas tes simagrées immédiatement, en plus de la tétine, je vais te boucher le nez, me menaça Maitresse Diane.

Je savais que j’aurai dû me modérer, mais cette tétine, à moitié déchirée, irritait ma gorge. Et pire que tout, remuant tellement que je réussis à faire tomber la chaise, je m’éclatai la tête au sol, et, renversé ainsi, des morceaux de tissus extrait de la tétine descendaient par gravité dans le fond de ma gorge.

Des spasmes me prirent, une envie de vomir que je savais dangereuse dans ma position. Tata Marguerite et Ladyscar me relevèrent. Cette dernière m’enleva le velcro à l’arrière de la tétine sans que personne ne pût l’endiguer. Je sentis une drôle d’odeur. Je crus que c’était celle de sang, que ma tête aurait cogné trop fort le parquet de bois de notre hôte. Mais c’était juste une remonté acide.

A peine la tétine enlevée, je régurgitai. Ce n’était pas vraiment du vomi mais mes maîtresses en regardèrent le contenu au sol. Quelques fils, provenant de la tétine explosée, étaient noyés dans le liquide.

  • Il avait raison de s’énerver. Cette tétine n’est pas adaptée à la rupture, critiqua Ladyscar à Tata Marguerite, sa conceptrice.

  • Il a pu déchirer ces fils avec ses propres dents, m’accusa Lucifer.

C’était ce qui avait dû se produire, mais je ne répondis pas.

  • Dans tous les cas, cela ne justifie pas le coup de boule et le bordel qu’il a créé ici, ajouta-t-il.

Les deux femmes avaient emmené leur bébé sur leur couche à langer et les nettoyaient aussi bien qu’elle pouvait de cette merde. La première d’entre elle avait déjà soigné le nez d’un pansement rose à petite fleur, dénotant avec la sévérité de la blessure. Regarder cette merde et sentir cette odeur me fit vomir à nouveau, presque sur les pieds de Maître Lucifer. Il recula d’un pas de danse, trop féminin et maniéré, faisant sourire Ladyscar.

  • Je suis désolé, dit Ladyscar, sans savoir si elle parlait de mon comportement ou de son dernier rictus.

  • Vous ne vous en tirerez pas comme cela, dit l’un des hommes qui enserrait le corps de la femme en couche et T-shirt. Ses caresses envers elle auraient pu paraître pédophile si son bébé n’avait pas, comme lui, une trentaine d’années.

  • Il n’a pas tort. Vous arrivez en retard et, en une demi-heure, vous nous saboter notre journée.

  • Que voulez-vous ? demanda maîtresse Diane.

  • Votre soumis, pour un weekend complet et sans vous.

  • D’abord il n’est pas le nôtre, mais le mien, répliqua Ladyscar. C’est à lui de décider. Il n’est absolument pas forcé d’être là.

  • Vous ne le tenez pas en chantage ? s’offusqua-t-il.

  • Son engagement se termine ce soir, assura-t-elle, à ma grande surprise.

  • A dix-neuf heures, ajoutai-je. Et je ne suis pas intéressé par ce weekend que vous me proposez. Sans compter que les conséquences de ce qui s’est passé est uniquement dû à l’agression inutile de votre propre bébé.

  • Ce n’est qu’un bébé, il agit comme il lui plait, lança sa propriétaire.

  • C’est valable également pour moi alors, dis-je, m’introduisant dans une sorte de jurisprudence qui venait de s’ouvrir et dont je bénéficiai.

  • Vous ne pouvez pas accuser un bébé de ces actes, me défendit à son tour Lady Christine.

Mes quatre maîtresses me défendaient. Enfin au moins trois, car Tata Marguerite restait plus en retrait, plus impressionné ou mal à l’aise envers cet homme qui ne semblait pourtant pas si imposant. Les dominateurs et dominatrices adverses nous faisaient front même s’ils restaient pour les trois parents encore occupé avec leur enfant. Le plus enragé était le plus jeune des hommes, mais sa compagne le serrait si fort, qu’il n'arrivait pas à se dégager.

  • Nous partons, dit Maîtresse Diane, assumant toujours son rôle de cheffe.

L’homme qui étreignait sa femme, se dégagea et voulut gifler ma maîtresse, pour je ne sais quelle raison, mais rapide, je m’interposai.

En réalité, les mains toujours attachées dans le dos, c’est avec mon visage que je contrariai son bras et ce furent mes dents qui bloquèrent le poignet de ce malappris.

  • Putain, le con ! Il mord en plus. Ce n’est pas un weekend qu’il nous le faut, c’est pour plusieurs mois. Jusqu’à qu’il perde ses dents comme bébé Paul.

Qu’est-ce que c’était que cette histoire. Je regardai les deux hommes dans le parc, plus attentivement. Ils ne s’occupaient pas de nos affaires à la différence de la femme. Ils ne jouaient pas aux bébés. Ils étaient redevenus des bébés. Ce personnage qui m’avait arraché ma tétine n’avait pas de dent. Il ne les avait perdus avec l’âge, car il ne devait pas dépasser la cinquantaine. Alors on les lui avait arrachées, ou les avait-il perdus, mais comment ?

La tension avait encore augmenté. L’homme que j’avais mordu ne décolérait pas. Je le regardai avec le sourire de celui qui n’en avait plus rien à faire, presque que cela amusait, passant ma langue, bouche ouverte, sur les dents où étaient restés quelques gouttes de son sang. Bien que mes mains soient toujours attachées, il prit peur et recula d’un pas.

  • Votre soumis passera ce weekend ici où vous n’y remettrez plus jamais les pieds, insista notre hôte.

  • Comme vous a dit Ladyscar, il ne s’agit pas de notre soumis, mais uniquement du sien. Les nôtres se tiennent mieux, insista Tata Marguerite, défendant sa paroisse.

  • Alors il viendra passer un weekend lorsque vous l’aurez dressé, mais en attendant vous ne remettrez plus les pieds ici. Vous êtes, toutes les quatre, persona non grata.

Nous ressortîmes, le temps qu’elles récupèrent leur manteau. Les maîtresses étaient en colère, mais je ne savais pas si c’était contre moi.

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